Tuesday, September 30, 2008

La Vie en cachette d'étudiantes

Alyson était étudiante d'université, ayant dix-neuf ans. C'était la première fois d'elle être loin du foyer de ses parents. Elle était petite, quelque peu joufflue à la figure, aux cheveux courts teints noirs, à lunette à monture grosse et noire. Bien qu'elle était gênée, Alyson commença aller aux partys pour faire la reconnaissance d'autres étudiants et peut-être de prendre quelqu'uns en amitié.

A un party, une autre fille l'approcha et dit :

— Comment ça va ? Je m'appelle Angélique. Viens-toi voir mon Picasso !

Alyson ne s'en revenait pas ! Elle checkait bien cette Angélique, qui était mince, de moyenne taille, aux cheveux longs et teints blonds, un clou à la narine droite. A coup soudain, la même idée de coucher avec une autre fille avait certaine allure pour Alyson. Angélique ne flashait pas mal. Donc, Alyson haussa les épaules en disant : « Okay d'abord. Pourquoi non ? »

Angélique embrassa Alyson sur les babines. Alors, la main dans la main, elles retournaient vers la résidence d'Angélique, qui était une résidence partagée d'autres filles de son âge. Pendant leur promenade, elles se parlaient nonchalamment de leurs courses et de leurs familles. Angélique avait deux ans de plus qu'Alyson, ayant dix-un ans. Elle était du Québec, française, pendant qu'Allyson était de l'Ontario, anglaise. Mais Angélique était sympa, amicale, pensait Alyson. Peut-être, elles pourraient être amies.

Chez Angélique, elles s'embrassèrent. Elles se font le sexe à la résidence d'Angélique. C'était éffrayant ! C'était la première fois d'Alyson manger la chatte d'une autre fille. C'était la première fois d'une autre fille grignoter la praline d'Alyson jusqu'à ce qu'elle jouit fortement. Alyson prenait son pied à plusieurs reprises.

Puis elles s'endormirent dans les bras d'une autre. Le lendemain matin, Angélique donna à Alyson son numéro de téléphone et murmura :

— Appelle-moi une bonne fois !

Puis elle s'embrassèrent une fois plus avant de partir.

Alyson et Angélique se font rendez-vous de temps en temps. Mais à partys, c'est Alyson qui approche des autres filles et dit : « Je m'appelle Alsyon. Viens-toi voir mon Picasso... »

Sunday, September 28, 2008

Sac de vents

Julie était étudiante à l'université de Montréal de l'âge de dix-neuf ans, grande et mince, aux cheveux châtains roux en bas au milieu du dos, à la peau pâle aux taches de rousseur sur la figure et au-dessus des petits seins conicaux. Le fait qu'elle s'habille toujours en noir lui donne un air de mystère. Ces les yeux, les yeux celtiques, pourtant, qui embarquent l'autre sexe, les yeux endroits couleur de la mer.

Son professeur de littérature, le docteur Chevrier, a le béguin pour elle depuis la première journée de classe, bien qu'il est passé le quarantaine. Julie croit que le docteur Chevrier être très charmant : elle aime bien ses attentions assui bien que sa course en littérature anglaise du siècle XVIe. Cependant, elle n'a pas les sentiments mêmes pour le docteur Chevrier.

Le docteur Chevrier vit à travers du fleuve St.-Laurent au canton de Châteauguay avec son épouse est leurs petits enfants. L'épouse du docteur Chevrier, Alice, est infirmière à un hôpital à travers la frontière à l'état de Nouvelle-York. A l'âge de trente-cinq ans, elle est toujours magnifique, grande et mince, aux cheveux châtains, aux yeux brun-foncé. Ayant la figure ovale, au front haut, elle ressemble bien à la vedette française Catherine Deneuve des 1970, ou à le reine égyptienne Nefertiti. Mais elle est quelque peu bêcheuse, nombriliste : elle pète plus haut que son cul.

Mme. Chevrier dit à son époux qu'elle a besoin de baby-sitter. Son époux répond :

— Je vais en parler à une entre mes étudiantes.

Après la classe, le docteur Chevrier demande à Julie si elle ne s'intéresse pas de faire baby-sitter pour son épouse. Julie hausse les épaules en répondant :

— J'en sais pas, monsieur le docteur. Quoi de la paie ? Quoi du programme travailleur de votre épouse ?

Le docteur dit qu'il n'est pas tout sûr du programme travailleur de son épouse. Puis il suggère :

— Qu'est-ce que vous diriez à dîner chez ma famille et moi ce soir, mademoiselle ?

Julie sourit, hausse les épaules en disant :

— Pourquoi non ?

Puis le docteur Chevrier téléphone à son épouse pour lui dire qu'ils auront une invitée ce soir chez eux. Mme. Chevrier n'est pas bien de lui la prévenir si tard. Ils se chicanent un peu, mais le docteur Chervrier fait se rappeler à son épouse d'elle avoir besoin de baby-sitter. Mme. Chevrier s'y cède donc. Mais Mme. Chevrier dit ferme à son époux : « Le dîner à sept heures. »

Le dîner chez les Chevrier. Le docteur Chevrier et Julie arrivent à l'heure, malgré le trafic de soir sur le pont Jacques-Cartier. Julie porte une robe longue et noire qu'elle a achetée à l'Armée du Salut. Elle a le chien !

La première fois d'elle ayant vu la belle Julie, Mme. Chevrier a failli haleter. Pendant que son mari et Julie jasent à table dans la salle à manger, Mme. Chevrier est tellement désconcertée qu'elle ne peut guère cuisiner le dîner. Elle a même failli faire brûler le rôti dans le four. En s'assayent à table avec sa famille et Julie, Mme. Chevrier dit à Julie, très amicale : « Si tu es végétalienne, ça n'est pas grand-chose. Je suis végétalienne aussi. Il y a assez de manger d'autre si on n'a pas le goût de manger du viande... »

A la plupart, Mme. Chevrier écoute attentivement pendant que son mari et leur invitée parlent à table de leurs lectures. Elle ne peut pas arrêter regarder fixement le belle Julie pendant que Julie parle à son mari de la littérature. Julie parle de Simone de Beauvoir, l'auteure feministe.

Avant la fin du dîner, Mme. Chevrier se rend compte d'elle avoir le béguin pour Julie. Le moment que Julie fait offre de l'aider de la vaisselle après le dîner, elle est aux anges. C'est l'occasion d'être toute seule avec Julie un peu de temps.

Mme. Chevrier et Julie se parlent en façon décontractée d'abord en nettoyant la cuisine. Puis l'interview : Mme. Chevrier pose peu de questions à Julie de ses qualifications comme baby-sitter, toute sérieuse. Mme. Chevrier se contente des réponses de Julie à ses questions.

Alors, pendant que Mme. Chevrier est debout devant l'évrier, les mains dans l'eau de l'évrier, Julie met les bras autour de sa taille et l'embrasse sur la nuque du cou, en pélotant ses seins en même temps. Bientôt, elles sont après se bécoter dans la cuisine devant l'évrier. Mais le moment où Mme. Chevrier sent la main baladeuse sur les foufounes nues, Julie, ayant enlevé sa robe de la main, elle se capote et s'y arrête tout de suite. « Non, chuchote-elle, de peur aussi bien d'excitation. C'est trop risqué... »

Julie hausse les épaules et répond :

— Ça fait rien, Alice.

Mais Mme. Chevrier sourit avec ruse en disant :

— T'es engagée, mon amour. La baby-sitter c'est toi.

Puis elles s'embrassent tendreement sur les babines deux fois avant d'aller dans le salon avec le docteur Chevrier et les enfants.

A nuit Mme. Chevrier fait amour avec son mari. Le sexe est ardent, passionnant, mais c'est Julie qui Mme. Chevrier désire. Jusqu'à ce que Julie commencera à faire baby-sitter aux enfants, Mme. Chevrier comptera des heures en soupirant pour Julie. Son mari n'est que disponible du temps. Son mari, en revanche, il fait fantaisie de lui, son épouse et Julie faire ménage à trois en lit, les femmes faisant soixante-neuf.

Alors, pendant une pause entre des classes, Julie rend visite à Mme. Chevrier sans la prévenir à midi. Mme. Chevrier ne s'en revient pas ! Quel bonheur! Elle ne s'attendait à personne à cette heure.

Le moment où Mme. Chevrier invite Julie en dedans, elles s'embrassent tous passionnées au foyer. « On n'a pas grand-chose de temps, chuchote Julie. J'ai une course à deux heures et demie... »

La main dans la main, elles montent vite en haut de l'escalier pour faire amour dans la chambre à coucher que Mme. Chevrier partage avec son mari. Bouche à bouche comme les deux gouramies dans l'aquarium du docteur Chevrier en bas de l'escalier dans le salon, elles se foutent à poil. Puis elles tombent sur le lit, une masse de chair femelle, où elles se font du sexe la première fois. C'est effrayant !

Pendant que Julie est experte de l'amour saphien, Mme. Chevrier n'est qu'ingénue, quelque peu gênée d'abord, comme une pucelle. Mais Mme. Chevrier n'est pas laissée insatisfaite : elle prend son pied à plusieurs reprises toujours. Elles se font amour toujours pendant que le cadet des enfants, qui ne fait que ses premiers pas, font dodo dans son chambre à coucher pendant son sieste. L'aîné, qui n'a que cinq ans, passe des demi-jours dans le jardin d'enfants.

Avant de Julie partir, Mme. Chevrier lui présente une unique rose. Toujours, elle présente à sa Julie une unique fleur de sa cour : une rose, une hyacinthe, peut-être, un lilas de son jardin. Elle coupe même une tulipe précieuse de son jardin. L'affaire c'est de choisir la fleur correcte qui va faire se surprendre sa Julie. En tour, Julie apporte une bouteille de vin, ou un peu de marihuana. Elles se font tout : l'orale, l'anale, le bondage, partout dans la maison : dans la chambre à coucher, dans la douche, également dans la cour. Si Mme. Chevrier doit travailler aux Etats-Unis à nuit, Julie y reste pour prendre soin des enfants, qui ne sont que petits. Il y a toujours les gouramies dans l'aquarium en bas de l'escalier dans le salon.

Différente que Mme. Chevrier, Julie est insouciante, spontanée. Elle n'a rien de perdre si le monde découvre qu'elle est amoureuse de Mme. Chevrier. Elle s'en fout. C'est la raison pourquoi elle embrassera sa bien-aimée dans la cour our sur le verandah. Mme. Chevrier, en revanche, elle est réservée, ayant peur des voisins commérer de leurs liaisons d'après-midis. Cependant, son mari a remarquè d'elle être plus relaxe, plus séreine. Son épouse semble être plus contente, et il est bien de cela.

Heureusement, le docteur Chevrier ne découvre pas de son épouse avoir le goût d'une autre encore. Mais hélas, cette affaire du cœur n'est que brève : après quelques mois, peut-être un an, Julie dit à Mme. Cheverir d'elle voyager à l'étrangier avec une autre amie plusieurs mois.

Mme. Chevrier s'en revient pas ! Elle se jalouse beaucoup en soupçonnant à cette autre amie être la nouvelle préférée de sa Julie. Mme. Chevrier est désconsolée. Après des larmes en masse, elles se font amour une fois de plus.

Peu de mois plus tard, il arrive par poste chez Chevrier une carte de Thailande, un baiser en rouge lilas sur le dos : c'est de Julie. Cependant, c'est le docteur Chevrier qui intercepte la poste le premier.

Mme. Chevrier se retrouve à son mari de ses infidélités : elle y confesse à tout. Penaud, Mme. Chevrier explique à son mari en haussant les épaules :

— Je n'aime que toi, Alain, mais j'étais amoureuse de Julie, dont j'avais besoin du temps. Il fallait le faire.

Puis elle ajoute sagement :

— Il y a différence, mon amour, entre d'être amoureuse d'une autre personne et d'aimer une autre personne.

Alice embrasse Alain doucement, aimablement sur les babines. Puis elle lui donne une étreinte. A nuit, Alice et Alain font amour à la papa, lentement et tendrement, dans leur chambre à coucher. Alice n'est pas laissée insatisfaite, en faisant fantaisie d'elle avec sa Julie. Alain en sait, et il fait amour avec son épouse comme il était la dernière fois, en faisant fantaisie de son épouse avec Julie, avec une autre femme.

A plusieurs reprises, Alice murmure à son mari : « Je t'aime, je n'aime que toi... »

Glâciée au surface, Alice a toujours aimée son époux d'une rare passion, d'un cœur ardent. Il est enchanté de la profondeur de son amour, mais chaque fois désormais pourrait être pour Alain la dernière fois avec Alice. C'est toujours possible que son épouse va le quitter pour une autre femme à l'avenir.

Toujours, Alain a le sens de quelqu'un sur le point d'ouvrir le sac éolien de vents, jusqu'à ce qu'il voit dans les yeux bleu-clair l'amour de sa femme. Puis il se rend compte de lui avoir ouvert le sac éolien de vents, dont qu'il ne peut jamais fermer.


La fin