Tuesday, May 29, 2007

Young Cannibals

There was once a boy named William. Though he wasn't obnoxious, he wasn't very bright either. He was very open to suggestion.

One day, over summer vacation, a bigger kid supposedly suggested to William that he perform a sex act on a dog. Since I wasn't there, I don't know if William really did it, but when it got around school the following September what he had done, all the kids made fun of him.

Poor William didn't take the ridicule very well. In fact, he went nuts. He would lash out at his tormentors whenever the teasing became unbearable, but that only goaded the other kids even more.

Then one day, just before Thanksgiving, one of the kids stabbed William to death with his knife. After William was dead, the kid who stabbed him cut a piece from his body and ate it. Delicious! Soon all of the other kids present did the same thing: they cut pieces from William's body and ate them. With all of the kids cutting pieces of William and eating them, there was soon nothing left of William but a skeleton.

After they were finished eating William, all of the kids returned to class as if nothing had happened. If the teachers noticed any blood on their clothes or on their chins, they didn't say anything. You wouldn't want to hurt their little psyches, you know.

The End

Children's Story: The Elephant and the Stake

In India, elephants are often used by loggers to drive logs down the river. However, elephants are enormous, so they have to catch them when they are only baby elephants.

One time, there was a baby elephant who fell into a big elephant trap. Then he was sold to a loggers camp.

This is not to say that the loggers were mean to the baby elephant, because they fed him every day and washed him. The mahout, or elephant driver who would ride his back when he got bigger, was always nice to him, but the baby elephant missed his mother and father very much.

So that the baby elephant couldn't run away into the jungle again, the driver tied his leg to a little stake in the ground every night. Of course, he could have pulled the stake right out of the ground, since he was an elephant, but he thought that he couldn't do it. So he couldn't do it. In this way, loggers in India make adult elephants think that they can't escape by tying their legs to little stakes in the ground when they are only babies.

One day, a mouse heard the baby elephant crying."Why are you crying?" the mouse asked him.

The baby elephant wailed: "I have been separated from my mother and my father. I know that I'm never going to see them again!"

"But why?" asked the mouse. "You're an elephant. You're the biggest animal in the jungle. If you pull your leg, you will pull that stake right out of the ground. Then you'll be free."

But the baby elephant didn't believe the mouse: he didn't think that he could pull the stake out of the ground, so he couldn't do it.

When the elephant told the mouse that he couldn't do it, the mouse shrugged his shoulders and said: "Then I don't care. It's you business, not mine."

A few days later, the baby elephant saw the mouse again. There were two peanuts just out of the elephant's reach, and the mouse had one peanut in his paws. When he saw the baby elephant, the mouse cried out with surprise: "I don't believe it! How come you're still not free?"

But the baby elephant shook his head and replied: "I can't do it. It's too hard."

"You have to believe in yourself," said the mouse. "If I doubted myself like you, the snakes would eat me for sure. It's dangerous to be a mouse, you know..."

The baby elephant was about to ask the mouse to push the second peanut towards him, so that he might take it in his trunk, but the mouse snatched it greedily and ran away with it.

One day, there was a fire in the loggers camp. The fire was soon out of control. Both the loggers and the elephants ran around in a panic, but the mouse wanted to try to help the baby elephant. "Run!" shouted the mouse. "Otherwise, it's all over you!"

But the baby elephant just stood there, still tied to the stake in the ground.

"Please don't give up," pleaded the mouse. "If you will only pull your leg, then you'll pull the stake out of the ground and you'll be free. But you must hurry."

When he saw the other elephants running, when he saw the fire, the baby elephant pulled the stake out of the ground. Then he ran into the jungle, where he found his mother and his father still living in the wild.

Moral: If you believe, you can do it, but you first must convince yourself in your own mind.

The End

Thursday, May 03, 2007

Brebises galeuses

Quoique Julie a quarante-deux ou quarante-trois ans, elle est encore jolie, mignonne comme une adolescente. Mais cet ange femelle est vraiment un diable, cette Eve, une Lilithe, parce qu'elle est voleuse depuis de l'adolescence. Quand elle avait treize ou quatorze ans, la police l'arrêta en cambriolant la maison des voisins, mais ce n'est que la première fois pourtant. Notre Julie a longue histoire de voler, de cambrioler, de frauder, en passant du temps en prison, deux fois. La première fois, comme une employée de pension de convalescence, elle se liait d'amitié avec des pensionnaires pour les frauder de leurs économies. La seconde fois, elle dépêcha par poste une chéque au gouvernement pour payer les impôts sans fonds suffisants dans son compte courant.

C'était à cause de drogues : notre Julie est longtemps une toxico : la cocaïne, la héroïne — n'importe quoi. Elle a passé du temps en cliniques de rééducation également, mais elle prend les drogues toujours. Quoi de faire donc ?

Je connais Julie par sa fille Yvette, qui est une amie de ma fille, Michelle. Du temps, Yvette avait seize ans. Sa mère avait juste fraudé ses frères et elle d'un héritage de dix milles dollars chacun, légué par une grand-mère. Bien oui, personne ne voulait la revoir, mais elle pleurait après toute la famille sur le téléphone : « Mon petit ami m'avait quotidiemment battu — il va me tuer ! »

Elle restait avec ce petit ami abusant à la Floride, où elle l'eût rencontré comme une strip-teaseuse dans un bar à Fort-Lauderdale, ou à quelque part autre de l'état. Elle s'installe avec lui, puis elle s'annonce d'être enceinte de gémeaux, il se peut même de triplés. Comment sait-elle sans qu'elle ne voie un médécin ? Il faut fait confiance à elle : une femme n'en mentirait jamais de quoi tellement varjeux. Les femmes comprenent bien les telles choses, tu sais.

Le petit ami demande : « Pourquoi pas tu ne fais pas avorter donc ?

Mais notre Julie proteste :

— Pantoute ! L'avortement est péché. C'est moi qui est l'idiote, pas les innés... »

Quels sentiments nobles ! Eh bien, les droits des innés seraient sains et saufs à cause de notre Julie, sinon de juste un détail : Julie n'est pas vraiment enceinte. Il se peut, ce n'est que l'hystérie d'une femme qu'il lui a manquée ses règles. C'est de plus probable pourtant qu'elle est après frauder son petit ami en se pensant d'elle a retrouver une mine d'or, c'est-à-dire, du foin du travailleur honnêt. Pour Julie, c'est toujours un de perdu, dix de retrouvé, il paraît.

Alors, le petit ami insoupçonneux commence à soupçonner d'elle ne pas être enceinte après d'elle ne pas se montrer trop longtemps. S'il y a de mauvais traitement, il se peut, il s'y met du petit petit ami apprendre de Julie ne pas être enceinte.

Chez nous, la fille de Julie, Yvette dort chaque nuit sur le sofa dans le salon, sans domicile, enceinte de huit mois, différente que sa mère. Toujours la paillasson, c'est la deuxième fois, le premier enfant, une fille, en soin d'une famille de placement. Mais elle est difficile : toutes les nuits, elle opére un gros ventilateur à cause du bruit. Bien oui, nous faisons presque pneumonie, Michelle et moi, puisqu'il fait vraiment froid les janviers à l'Ontario de l'este, mais Yvette ne peut pas dormir sans le ventilateur, dit-elle. C'est vrai, il paraît : j'essaie d'éteindre le ventilateur de temps en temps en croyant d'elle être endormie, mais elle réveille vite toujours pour me dire de rallumer le ventilateur en termes on ne peut plus clairs.

Bien oui, Michelle et moi sont sur le point de mettre Yvette à la porte, mais elle est enceinte, sans domicile. Egalement, a elle fait promesse de payer du loyer une fois qu'elle a commencé à recevoir des chéques de providence de la province de l'Ontario. Pour montre de bonne foi, elle fait ses épiceries de sa chéque de la province, mais elle avait mangé en portions suffissantes à nourrir une petite armée de toute façon, elle, en mangeant pour deux personnes à cette heure.

Après plusieurs nuits sur la corde à linge, Michelle et moi sont malades de la bronchite, si non de la pneumonie, peu capable de dormir les nuits en raison du froid du ventilateur auprès du sofa où Yvette dort les nuits. Et la note pour le chauffage ? Mon Dieu, c'est exorbitante, davantage que deux cents dollars le mois de janvier seul.

Sans doute, c'est les hormones de la mère future qui clignotent à l'intérieure d'elle comme les lumières de l'Aurore boréale. Ses humeurs couvrent toutes les couleurs du spectrum : violet, bleu, vert, jaune, orange, rouge. Quand son petit ami Brian a le goût de quelque amour, la seule différence entr'elle et un pit-bull femelle ce n'est que le rouge aux babines, le maquilage au visage.

A la fin, nous sommes en marre, Michelle et moi. Michelle me prend en apart et crie : « Je suis tannée, papa ! Je vais me couper du couteau les poignets si elle ne s'en va pas bientôt ! »

Parfois, nos problèmes se resoudront. La mère d'Yvette, notre Julie, fait un téléphone de la Floride, en demandant de l'argent pour qu'elle s'enfuisse le petit ami abusant et revienne au Canada pour rester avec sa fille enceinte à la maman aimante. Bien oui, Yvette doute que sa maman dise vraie, sa maman, en l'ayant fraudé de son héritage, mais elle nous dit, bien raisonnablement : « Il faut le faire : ça se peut, elle ment pas cette fois. Ça se peut, son petit ami lui menace la vie... »

Le début du mois, lorsqu'Yvette n'a pas assez de l'argent pour le loyer, Michelle et moi la foutons hors de camp sous la prétexte fausse d'elle flirter avec le mari d'une très jalouse cousine de Michelle. (Elle ne fit pas vraiment : quelqu'une avait menti.)

Yvette doit retrouver un autre endroit à rester pendant que sa mère fait son aise en voyageant au nord à l'Ontario avant qu'elles se réunissent à la fin. La vie n'est pas toujours juste, mais parfois, il se peut, il y une raison des sans-domiciles être sans domiciles.

Wednesday, May 02, 2007

Petite cabane dans les québécois bois

Le manteau qui pend du crochet arrière la porte,
les bottes inconnues devant le tisson,
le fusil aussi inconnu à l'étagère sur le mur,
les pantouffles ne jamais vues avant
sous le lit dans la chambre à coucher.

L'inconnu fait son affaire dans le bacosse dans la court,
et le chasseur s'assied à la table mise pour deux,
un bol de bluets au milieu.
Sa femme fait cuir toujours du pain immangeable dans le four
en buvant du jus de canneberge pour les reins,
et le chasseur demande ce qu'on va souper ce soir
sans reconnaissance de l'hôte.