Brebises galeuses
Quoique Julie a quarante-deux ou quarante-trois ans, elle est encore jolie, mignonne comme une adolescente. Mais cet ange femelle est vraiment un diable, cette Eve, une Lilithe, parce qu'elle est voleuse depuis de l'adolescence. Quand elle avait treize ou quatorze ans, la police l'arrêta en cambriolant la maison des voisins, mais ce n'est que la première fois pourtant. Notre Julie a longue histoire de voler, de cambrioler, de frauder, en passant du temps en prison, deux fois. La première fois, comme une employée de pension de convalescence, elle se liait d'amitié avec des pensionnaires pour les frauder de leurs économies. La seconde fois, elle dépêcha par poste une chéque au gouvernement pour payer les impôts sans fonds suffisants dans son compte courant.
C'était à cause de drogues : notre Julie est longtemps une toxico : la cocaïne, la héroïne — n'importe quoi. Elle a passé du temps en cliniques de rééducation également, mais elle prend les drogues toujours. Quoi de faire donc ?
Je connais Julie par sa fille Yvette, qui est une amie de ma fille, Michelle. Du temps, Yvette avait seize ans. Sa mère avait juste fraudé ses frères et elle d'un héritage de dix milles dollars chacun, légué par une grand-mère. Bien oui, personne ne voulait la revoir, mais elle pleurait après toute la famille sur le téléphone : « Mon petit ami m'avait quotidiemment battu — il va me tuer ! »
Elle restait avec ce petit ami abusant à la Floride, où elle l'eût rencontré comme une strip-teaseuse dans un bar à Fort-Lauderdale, ou à quelque part autre de l'état. Elle s'installe avec lui, puis elle s'annonce d'être enceinte de gémeaux, il se peut même de triplés. Comment sait-elle sans qu'elle ne voie un médécin ? Il faut fait confiance à elle : une femme n'en mentirait jamais de quoi tellement varjeux. Les femmes comprenent bien les telles choses, tu sais.
Le petit ami demande : « Pourquoi pas tu ne fais pas avorter donc ?
Mais notre Julie proteste :
— Pantoute ! L'avortement est péché. C'est moi qui est l'idiote, pas les innés... »
Quels sentiments nobles ! Eh bien, les droits des innés seraient sains et saufs à cause de notre Julie, sinon de juste un détail : Julie n'est pas vraiment enceinte. Il se peut, ce n'est que l'hystérie d'une femme qu'il lui a manquée ses règles. C'est de plus probable pourtant qu'elle est après frauder son petit ami en se pensant d'elle a retrouver une mine d'or, c'est-à-dire, du foin du travailleur honnêt. Pour Julie, c'est toujours un de perdu, dix de retrouvé, il paraît.
Alors, le petit ami insoupçonneux commence à soupçonner d'elle ne pas être enceinte après d'elle ne pas se montrer trop longtemps. S'il y a de mauvais traitement, il se peut, il s'y met du petit petit ami apprendre de Julie ne pas être enceinte.
Chez nous, la fille de Julie, Yvette dort chaque nuit sur le sofa dans le salon, sans domicile, enceinte de huit mois, différente que sa mère. Toujours la paillasson, c'est la deuxième fois, le premier enfant, une fille, en soin d'une famille de placement. Mais elle est difficile : toutes les nuits, elle opére un gros ventilateur à cause du bruit. Bien oui, nous faisons presque pneumonie, Michelle et moi, puisqu'il fait vraiment froid les janviers à l'Ontario de l'este, mais Yvette ne peut pas dormir sans le ventilateur, dit-elle. C'est vrai, il paraît : j'essaie d'éteindre le ventilateur de temps en temps en croyant d'elle être endormie, mais elle réveille vite toujours pour me dire de rallumer le ventilateur en termes on ne peut plus clairs.
Bien oui, Michelle et moi sont sur le point de mettre Yvette à la porte, mais elle est enceinte, sans domicile. Egalement, a elle fait promesse de payer du loyer une fois qu'elle a commencé à recevoir des chéques de providence de la province de l'Ontario. Pour montre de bonne foi, elle fait ses épiceries de sa chéque de la province, mais elle avait mangé en portions suffissantes à nourrir une petite armée de toute façon, elle, en mangeant pour deux personnes à cette heure.
Après plusieurs nuits sur la corde à linge, Michelle et moi sont malades de la bronchite, si non de la pneumonie, peu capable de dormir les nuits en raison du froid du ventilateur auprès du sofa où Yvette dort les nuits. Et la note pour le chauffage ? Mon Dieu, c'est exorbitante, davantage que deux cents dollars le mois de janvier seul.
Sans doute, c'est les hormones de la mère future qui clignotent à l'intérieure d'elle comme les lumières de l'Aurore boréale. Ses humeurs couvrent toutes les couleurs du spectrum : violet, bleu, vert, jaune, orange, rouge. Quand son petit ami Brian a le goût de quelque amour, la seule différence entr'elle et un pit-bull femelle ce n'est que le rouge aux babines, le maquilage au visage.
A la fin, nous sommes en marre, Michelle et moi. Michelle me prend en apart et crie : « Je suis tannée, papa ! Je vais me couper du couteau les poignets si elle ne s'en va pas bientôt ! »
Parfois, nos problèmes se resoudront. La mère d'Yvette, notre Julie, fait un téléphone de la Floride, en demandant de l'argent pour qu'elle s'enfuisse le petit ami abusant et revienne au Canada pour rester avec sa fille enceinte à la maman aimante. Bien oui, Yvette doute que sa maman dise vraie, sa maman, en l'ayant fraudé de son héritage, mais elle nous dit, bien raisonnablement : « Il faut le faire : ça se peut, elle ment pas cette fois. Ça se peut, son petit ami lui menace la vie... »
Le début du mois, lorsqu'Yvette n'a pas assez de l'argent pour le loyer, Michelle et moi la foutons hors de camp sous la prétexte fausse d'elle flirter avec le mari d'une très jalouse cousine de Michelle. (Elle ne fit pas vraiment : quelqu'une avait menti.)
Yvette doit retrouver un autre endroit à rester pendant que sa mère fait son aise en voyageant au nord à l'Ontario avant qu'elles se réunissent à la fin. La vie n'est pas toujours juste, mais parfois, il se peut, il y une raison des sans-domiciles être sans domiciles.
C'était à cause de drogues : notre Julie est longtemps une toxico : la cocaïne, la héroïne — n'importe quoi. Elle a passé du temps en cliniques de rééducation également, mais elle prend les drogues toujours. Quoi de faire donc ?
Je connais Julie par sa fille Yvette, qui est une amie de ma fille, Michelle. Du temps, Yvette avait seize ans. Sa mère avait juste fraudé ses frères et elle d'un héritage de dix milles dollars chacun, légué par une grand-mère. Bien oui, personne ne voulait la revoir, mais elle pleurait après toute la famille sur le téléphone : « Mon petit ami m'avait quotidiemment battu — il va me tuer ! »
Elle restait avec ce petit ami abusant à la Floride, où elle l'eût rencontré comme une strip-teaseuse dans un bar à Fort-Lauderdale, ou à quelque part autre de l'état. Elle s'installe avec lui, puis elle s'annonce d'être enceinte de gémeaux, il se peut même de triplés. Comment sait-elle sans qu'elle ne voie un médécin ? Il faut fait confiance à elle : une femme n'en mentirait jamais de quoi tellement varjeux. Les femmes comprenent bien les telles choses, tu sais.
Le petit ami demande : « Pourquoi pas tu ne fais pas avorter donc ?
Mais notre Julie proteste :
— Pantoute ! L'avortement est péché. C'est moi qui est l'idiote, pas les innés... »
Quels sentiments nobles ! Eh bien, les droits des innés seraient sains et saufs à cause de notre Julie, sinon de juste un détail : Julie n'est pas vraiment enceinte. Il se peut, ce n'est que l'hystérie d'une femme qu'il lui a manquée ses règles. C'est de plus probable pourtant qu'elle est après frauder son petit ami en se pensant d'elle a retrouver une mine d'or, c'est-à-dire, du foin du travailleur honnêt. Pour Julie, c'est toujours un de perdu, dix de retrouvé, il paraît.
Alors, le petit ami insoupçonneux commence à soupçonner d'elle ne pas être enceinte après d'elle ne pas se montrer trop longtemps. S'il y a de mauvais traitement, il se peut, il s'y met du petit petit ami apprendre de Julie ne pas être enceinte.
Chez nous, la fille de Julie, Yvette dort chaque nuit sur le sofa dans le salon, sans domicile, enceinte de huit mois, différente que sa mère. Toujours la paillasson, c'est la deuxième fois, le premier enfant, une fille, en soin d'une famille de placement. Mais elle est difficile : toutes les nuits, elle opére un gros ventilateur à cause du bruit. Bien oui, nous faisons presque pneumonie, Michelle et moi, puisqu'il fait vraiment froid les janviers à l'Ontario de l'este, mais Yvette ne peut pas dormir sans le ventilateur, dit-elle. C'est vrai, il paraît : j'essaie d'éteindre le ventilateur de temps en temps en croyant d'elle être endormie, mais elle réveille vite toujours pour me dire de rallumer le ventilateur en termes on ne peut plus clairs.
Bien oui, Michelle et moi sont sur le point de mettre Yvette à la porte, mais elle est enceinte, sans domicile. Egalement, a elle fait promesse de payer du loyer une fois qu'elle a commencé à recevoir des chéques de providence de la province de l'Ontario. Pour montre de bonne foi, elle fait ses épiceries de sa chéque de la province, mais elle avait mangé en portions suffissantes à nourrir une petite armée de toute façon, elle, en mangeant pour deux personnes à cette heure.
Après plusieurs nuits sur la corde à linge, Michelle et moi sont malades de la bronchite, si non de la pneumonie, peu capable de dormir les nuits en raison du froid du ventilateur auprès du sofa où Yvette dort les nuits. Et la note pour le chauffage ? Mon Dieu, c'est exorbitante, davantage que deux cents dollars le mois de janvier seul.
Sans doute, c'est les hormones de la mère future qui clignotent à l'intérieure d'elle comme les lumières de l'Aurore boréale. Ses humeurs couvrent toutes les couleurs du spectrum : violet, bleu, vert, jaune, orange, rouge. Quand son petit ami Brian a le goût de quelque amour, la seule différence entr'elle et un pit-bull femelle ce n'est que le rouge aux babines, le maquilage au visage.
A la fin, nous sommes en marre, Michelle et moi. Michelle me prend en apart et crie : « Je suis tannée, papa ! Je vais me couper du couteau les poignets si elle ne s'en va pas bientôt ! »
Parfois, nos problèmes se resoudront. La mère d'Yvette, notre Julie, fait un téléphone de la Floride, en demandant de l'argent pour qu'elle s'enfuisse le petit ami abusant et revienne au Canada pour rester avec sa fille enceinte à la maman aimante. Bien oui, Yvette doute que sa maman dise vraie, sa maman, en l'ayant fraudé de son héritage, mais elle nous dit, bien raisonnablement : « Il faut le faire : ça se peut, elle ment pas cette fois. Ça se peut, son petit ami lui menace la vie... »
Le début du mois, lorsqu'Yvette n'a pas assez de l'argent pour le loyer, Michelle et moi la foutons hors de camp sous la prétexte fausse d'elle flirter avec le mari d'une très jalouse cousine de Michelle. (Elle ne fit pas vraiment : quelqu'une avait menti.)
Yvette doit retrouver un autre endroit à rester pendant que sa mère fait son aise en voyageant au nord à l'Ontario avant qu'elles se réunissent à la fin. La vie n'est pas toujours juste, mais parfois, il se peut, il y une raison des sans-domiciles être sans domiciles.
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