Devlet Baba
Devlet Baba means "daddy state," or "welfare state" in Turkish. It denotes a parternalistic society, where children are encouraged to be dependent on their parents.
Konya was twenty-five years old and still living at home, but she didn't mind because her father paid her credit card bills and paid the installments on the loan for the car that she had bought two years before. But she was helping out too: her salary from her full-time job as an accountant at a department store on Istaklal Boulevard in Istanbul helped pay the bills.
Konya's parents believed that they were protecting their daughter's virtue by allowing her to stay with them, but they didn't know that she was sleeping with her boyfriend. They also didn't know that she had slept with her boyfriends since she had graduated from secondary school, and that all of her friends did it.
Konya and her family were Muslims, but the Turks have lived under secularism for nearly a century, since Kemal Atatürk. What's more, Turks consider themselves to be Europeans, not Asians. They consider the Arabs to be a race of barbarians.
One day, during the summer, Konya told her family that she was going to a resort on the Black Sea with some friends. She was gone for eight days. She came back tanned and looking happy. Her mother noticed that there were no tan lines on her body.
Then, about a week later, her mother found some photos in the top drawer of her dresser while putting away some clothes. In one of them, Konya was posing in a photo booth with a young man who had his arm around her shoulders; they were both smiling brightly.
The rest of the photos verified that were taken while Konya was on vacation on the Black Sea, supposedly with some friends. She had photos of the Black Sea at sunrise, and the sandy beaches.
When Konya's father saw the photo with the young man, he few into a rage— at his daughter's deception, at the fact that she was obviously sleeping with a man.
When her parents confronted her with the evidence, she didn't try to deny it. She apologized, but her father slapped her in the face— the only time that he had ever struck Konya.
When Konya told her boyfriend, Mehmet, what had happened, he did the only honourable thing he could do: he approached Konya's father and asked for his daughter's hand in marriage.
Devlet baba signifie « l'état de papa » ou « l'état de providence » en turc. Ces mots dénotent la société patérnaliste où on encourage un état de dépendance d'enfants sur leurs parents.
Konya avait vingt-cinq ans, restant chez ses parents encore, mais elle n'avait pas d'objections parce que son père payait les notes de sa carte credit et payait les versements mensuels de l'emprunte pour la voiture qu'elle eut achetée il y a deux ans. Mais elle donnait un coup de main aussi : la salaire de son ouvrage à plein temps comme une comptable d'un magasin dans le boulevard Istaklal à Istanbul aidait payer les notes.
Les parents de Konya se croyaient à défendre la vertu de leur fille en la permettant à rester chez eux, mais ils n'avaient pas connaissance d'elle coucher avec son petit ami. Aussi, ils n'avaient pas connaissance d'elle avoir couché avec ses petits amis après qu'elle eut reçu son diplôme de lycée. Ils n'avait pas connaissance de toutes ses amies l'avoir fait.
Konya et sa famille étaient musulmanes, mais les Turcs sont vécu sous le laïcisme depuis presque un siècle, depuis Kemal Atatürk. En plus, les Turcs se considèrent à être Européens, pas Asiens. Ils considèrent les Arabes à être une race barbare.
Un jour, pendant l'été, Konya dit à sa famille d'elle aller en vacanses à un lieu de villégiature sur la mer Noir avec quelques amies. Elle y était huit jours. Elle revint bronzée, semblant être contente. Sa mère remarqua qu'il n'y avait pas de lignes de bronzage sur son corps.
Alors, environ une semaine plus tard, sa mère trouva quelques photos en mettant des vêtiments dans le tiroir en haut de sa commode-coiffeuse. Dans l'une d'elles, Konya posait dans un photomaton® avec un jeune homme, qui avait un bras autour de son épaule. Tous les deux souriaent largement.
Le reste des photos vérifièrent qu'elles furent prises pendant que Konya était en vacanses sur la mer Noire, elle, censée d'être avec quelques amies.
En voyant la photo du jeune homme, le père de Konya entra dans une colère noire — à cause de la duplicité de sa fille, à cause du fait d'elle coucher avec un homme évidamment.
Quand ses parents l'affrontèrent avec l'évidence, elle ne tenta pas de mentir. Elle demanda pardons, mais son père la gifla, la seule fois qu'il eut jamais coupé Konya.
Quand Konya dit à son petit ami de ce qui fut passé, il fît la seule chose honorable qu'il pouvait faire : il approcha le père de Konya pour faire une demande en mariage avec sa fille.
Konya was twenty-five years old and still living at home, but she didn't mind because her father paid her credit card bills and paid the installments on the loan for the car that she had bought two years before. But she was helping out too: her salary from her full-time job as an accountant at a department store on Istaklal Boulevard in Istanbul helped pay the bills.
Konya's parents believed that they were protecting their daughter's virtue by allowing her to stay with them, but they didn't know that she was sleeping with her boyfriend. They also didn't know that she had slept with her boyfriends since she had graduated from secondary school, and that all of her friends did it.
Konya and her family were Muslims, but the Turks have lived under secularism for nearly a century, since Kemal Atatürk. What's more, Turks consider themselves to be Europeans, not Asians. They consider the Arabs to be a race of barbarians.
One day, during the summer, Konya told her family that she was going to a resort on the Black Sea with some friends. She was gone for eight days. She came back tanned and looking happy. Her mother noticed that there were no tan lines on her body.
Then, about a week later, her mother found some photos in the top drawer of her dresser while putting away some clothes. In one of them, Konya was posing in a photo booth with a young man who had his arm around her shoulders; they were both smiling brightly.
The rest of the photos verified that were taken while Konya was on vacation on the Black Sea, supposedly with some friends. She had photos of the Black Sea at sunrise, and the sandy beaches.
When Konya's father saw the photo with the young man, he few into a rage— at his daughter's deception, at the fact that she was obviously sleeping with a man.
When her parents confronted her with the evidence, she didn't try to deny it. She apologized, but her father slapped her in the face— the only time that he had ever struck Konya.
When Konya told her boyfriend, Mehmet, what had happened, he did the only honourable thing he could do: he approached Konya's father and asked for his daughter's hand in marriage.
Devlet baba signifie « l'état de papa » ou « l'état de providence » en turc. Ces mots dénotent la société patérnaliste où on encourage un état de dépendance d'enfants sur leurs parents.
Konya avait vingt-cinq ans, restant chez ses parents encore, mais elle n'avait pas d'objections parce que son père payait les notes de sa carte credit et payait les versements mensuels de l'emprunte pour la voiture qu'elle eut achetée il y a deux ans. Mais elle donnait un coup de main aussi : la salaire de son ouvrage à plein temps comme une comptable d'un magasin dans le boulevard Istaklal à Istanbul aidait payer les notes.
Les parents de Konya se croyaient à défendre la vertu de leur fille en la permettant à rester chez eux, mais ils n'avaient pas connaissance d'elle coucher avec son petit ami. Aussi, ils n'avaient pas connaissance d'elle avoir couché avec ses petits amis après qu'elle eut reçu son diplôme de lycée. Ils n'avait pas connaissance de toutes ses amies l'avoir fait.
Konya et sa famille étaient musulmanes, mais les Turcs sont vécu sous le laïcisme depuis presque un siècle, depuis Kemal Atatürk. En plus, les Turcs se considèrent à être Européens, pas Asiens. Ils considèrent les Arabes à être une race barbare.
Un jour, pendant l'été, Konya dit à sa famille d'elle aller en vacanses à un lieu de villégiature sur la mer Noir avec quelques amies. Elle y était huit jours. Elle revint bronzée, semblant être contente. Sa mère remarqua qu'il n'y avait pas de lignes de bronzage sur son corps.
Alors, environ une semaine plus tard, sa mère trouva quelques photos en mettant des vêtiments dans le tiroir en haut de sa commode-coiffeuse. Dans l'une d'elles, Konya posait dans un photomaton® avec un jeune homme, qui avait un bras autour de son épaule. Tous les deux souriaent largement.
Le reste des photos vérifièrent qu'elles furent prises pendant que Konya était en vacanses sur la mer Noire, elle, censée d'être avec quelques amies.
En voyant la photo du jeune homme, le père de Konya entra dans une colère noire — à cause de la duplicité de sa fille, à cause du fait d'elle coucher avec un homme évidamment.
Quand ses parents l'affrontèrent avec l'évidence, elle ne tenta pas de mentir. Elle demanda pardons, mais son père la gifla, la seule fois qu'il eut jamais coupé Konya.
Quand Konya dit à son petit ami de ce qui fut passé, il fît la seule chose honorable qu'il pouvait faire : il approcha le père de Konya pour faire une demande en mariage avec sa fille.